L’exercice d’écriture créative qui m’attend aujourd’hui ? Décrire un itinéraire, un parcours.
Il s’agit de se laisser emmener par les mots en décrivant un itinéraire qui va suivant l’inspiration du moment. Comme lorsqu’on indique le chemin à quelqu’un dans la rue, avec le plus de précision possible, et ainsi imaginer ce qu’il peut rencontrer sur son parcours.
Description d’un lieu au conditionnel
Je continue mon voyage à travers le temps et l’espace avec un nouvel exercice d’écriture créative. A faire : une petite description d’un lieu. A moi de choisir si c’est un lieu réel ou inventé mais que je rédigerai au temps du conditionnel, le mode de l’irréel et de l’imaginaire. C’est un mode encore plus judicieux si on choisit un lieu fictif.
Là-bas, sur une terre hostile
Suite de mon aventure dans la section « De la boussole au calendrier »… Si dans l’article précédent, j’avais écrit un texte sur ce qu’était Ici, aujourd’hui, je vais parler de ce qui se passe Là-bas. Là-bas, dans mon imaginaire, ce qui m’était arrivé en tête tout de suite et maintenant, au moment où j’étais sur ma nouvelle feuille blanche.
De la boussole au calendrier
Me voici dans une autre étape sur l’apprentissage de l’écriture créative tel que je l’avais annoncé dans mon dernier article : Itinéraire 2 – De la boussole au calendrier. Et l’introduction de cette partie du livre sur l’espace et le temps, choisie par Faly Stachak, me plaît beaucoup :
« … Si je parle du temps, c’est qu’il n’est pas encore,
(…) d’un lieu, c’est qu’il a disparu,
(…) d’un homme, il sera bientôt mort,
(…) du temps, c’est qu’il n’est déjà plus… »
Raymond Queneau, « Explication des métaphores », dans 128 poèmes composés en langue française, Jacques Rougeaud, Gallimard, 1995
Genre d’écriture – La description
Genre d’écriture – la description. En transition entre l’Itinéraire 1 : Histoires de listes, du Livre 1 – Premiers pas pour écrire le monde dans la Partie 1. Être et dire : de la liste à l’inventaire des sens* que je viens de terminer, et l’Itinéraire 2 : De la boussole au calendrier… que je vais aborder dans la prochaine étape. J’ai appris le sens de la description dans l’écriture créative. Bien entendu, vous et moi connaissons le sens général du terme « description » sans pour autant nous attarder sur ses vertus ni sur les différentes formes qui existent. En tout cas et pour ma part, je ne m’y étais pas attardée de façon sérieuse. Alors, voici une bonne occasion pour le faire.
L’inventaire heureux de mes saisons
L’inventaire. Dernier exercice sur ce premier itinéraire de mon apprentissage d’écriture qui, pour rappel, s’intitule « Histoire de listes », dans Partie 1. « Être et dire : de la liste à l’inventaire des sens » tiré du livre de Faly Stachak – Ecrire, Un plaisir à la portée de tous – 350 techniques d’écriture créative, aux éditions Eyrolles. Aujourd’hui, il s’agit de faire l’inventaire heureux de mes saisons.
De toute mon âme – la liste de mes prières
« Maintenant je demande – et de toute mon âme ! »
Nouvel exercice – et l’avant-dernier – dans ma série « Histoire de listes », il s’agit de dresser une liste de ses prières avec comme commencement ce premier vers de Renée Vivien, dont le poème s’intitule Races, in Jean Orizet, ibid., p. 26
Lister ses prières, ses requêtes, ses voeux… Enumérer ses envies, ses souhaits, ses désirs…
Quoi de plus facile, me direz-vous ? Hem, nous le saurons dans quelques lignes plus bas !
Portrait chinois ou tag – Si j’étais…, je serais…
Coucou ! Aujourd’hui, je sors un peu de mon cadre et de mes thèmes : le portrait chinois ou Tag. Quoique en y pensant, je reste dans celui de mon thème principal qui est l’écriture et le partage des mots, et même dans le groupe de mes Histoires de listes. En lisant un article de Leti sur son blog – Amicalement votre site que je suis régulièrement, titré «#TAG Si j’étais, je serais… », j’ai redécouvert le fameux concept du portrait chinois.
Poème – « Je voudrais pas mourir sans… »
Aujourd’hui, toujours dans l’itinéraire « Histoire de listes », il s’agit de faire une liste d’inventions qui sorte de notre propre imagination. Pour cela, Faly Stachak cite en exemple une proposition de Boris Vian « je voudrais pas mourir sans qu’on ait inventé… », tiré de son livre de poème Je voudrais pas crever, Le livre de poche, 1997.
Histoire de listes – Il y a des monstres…
Aujourd’hui, l’exercice d’écriture consiste à rédiger un texte qui commence par « Il y a des monstres… ». L’auteure Faly Stachak suggère de faire un voyage à travers les mots en prenant des risques. Comme elle mentionne « il faut bien se faire trembler un peu, non ? ». Dans notre imaginaire, chacun de nous avons des monstres. Alors, je suppose que ceux-ci peuvent être des personnages atypiques et extraordinaires, des êtres qui existent réellement sur lesquels nous fantasmons à nous faire peur, ou pourquoi pas des idées qui peuvent se révéler « monstrueuses ». Le spectre est assez large.