L’inventaire. Dernier exercice sur ce premier itinéraire de mon apprentissage d’écriture qui, pour rappel, s’intitule « Histoire de listes », dans Partie 1. « Être et dire : de la liste à l’inventaire des sens » tiré du livre de Faly Stachak – Ecrire, Un plaisir à la portée de tous – 350 techniques d’écriture créative, aux éditions Eyrolles. Aujourd’hui, il s’agit de faire l’inventaire heureux de mes saisons.
De toute mon âme – la liste de mes prières
« Maintenant je demande – et de toute mon âme ! »
Nouvel exercice – et l’avant-dernier – dans ma série « Histoire de listes », il s’agit de dresser une liste de ses prières avec comme commencement ce premier vers de Renée Vivien, dont le poème s’intitule Races, in Jean Orizet, ibid., p. 26
Lister ses prières, ses requêtes, ses voeux… Enumérer ses envies, ses souhaits, ses désirs…
Quoi de plus facile, me direz-vous ? Hem, nous le saurons dans quelques lignes plus bas !
Portrait chinois ou tag – Si j’étais…, je serais…
Coucou ! Aujourd’hui, je sors un peu de mon cadre et de mes thèmes : le portrait chinois ou Tag. Quoique en y pensant, je reste dans celui de mon thème principal qui est l’écriture et le partage des mots, et même dans le groupe de mes Histoires de listes. En lisant un article de Leti sur son blog – Amicalement votre site que je suis régulièrement, titré «#TAG Si j’étais, je serais… », j’ai redécouvert le fameux concept du portrait chinois.
Poème – « Je voudrais pas mourir sans… »
Aujourd’hui, toujours dans l’itinéraire « Histoire de listes », il s’agit de faire une liste d’inventions qui sorte de notre propre imagination. Pour cela, Faly Stachak cite en exemple une proposition de Boris Vian « je voudrais pas mourir sans qu’on ait inventé… », tiré de son livre de poème Je voudrais pas crever, Le livre de poche, 1997.
Histoire de listes – Il y a des monstres…
Aujourd’hui, l’exercice d’écriture consiste à rédiger un texte qui commence par « Il y a des monstres… ». L’auteure Faly Stachak suggère de faire un voyage à travers les mots en prenant des risques. Comme elle mentionne « il faut bien se faire trembler un peu, non ? ». Dans notre imaginaire, chacun de nous avons des monstres. Alors, je suppose que ceux-ci peuvent être des personnages atypiques et extraordinaires, des êtres qui existent réellement sur lesquels nous fantasmons à nous faire peur, ou pourquoi pas des idées qui peuvent se révéler « monstrueuses ». Le spectre est assez large.
Anaphore « il y a » – Histoire de listes
Anaphore. Aujourd’hui, l’exercice d’écriture – toujours dans la section « Histoire de listes » – consiste à nommer tout ce qu’il y a autour de moi, dans le réel comme dans ma mémoire ou dans mon imaginaire. Le principe étant d’utiliser l’anaphore « il y a » en initial de chaque énoncé.
Histoire de listes, ne pas oublier…
Histoire de listes – L’histoire de listes d’aujourd’hui consiste à faire une liste dans le genre pense-bête. Mais que faut-il faire exactement ?
Faly Stachak recommande, au pire, de dresser une liste de courses – bon, il faut vraiment ne pas être inspiré mais après tout pourquoi pas ; au mieux, de marquer ce qui nous tient à coeur, ce que je trouve plus intéressant et plus ouvert à l’usage de l’imagination.
La liste de mes trésors – Histoire de listes
Suite de l’exercice Itinéraire 1 – Histoire de listes.
Aujourd’hui, entrée dans un univers poétique en dressant la liste de mes trésors. Faly Stachak recommande un peu de surréalisme à travers l’usage de l’anaphore.
L’expression choisie pour commencer chaque vers : « J’ai ».
Allons-y !
La liste des petits riens qui me font plaisir
Nouvel exercice d’écriture aujourd’hui, celle de dresser une liste – pour changer… hihi – les petits riens qui me font plaisir.
Allons-y !
La liste de mes fantasmes
Aujourd’hui, l’exercice d’écriture consiste à dresser une liste des fantasmes.
Fantasme : production de l’imagination par laquelle le moi cherche à échapper à l’emprise de la réalité. (Le Petit Robert – Dictionnaire de la langue française).
Chacune et chacun de nous avons des fantasmes, inévitablement. Certains qu’on peut partager, d’autres qui sont inavouables et que l’on préfère garder secret.
Dans tous les cas, quels qu’ils soient, nous n’avons rien à appréhender, avoir des fantasmes ne font pas de nous des personnes anormales.
Allons-y !